
Tongo Doumbia : “J’ai de très bons rapports avec Alain Giresse”
International malien du Toulouse Football Club, Tongo Doumbia revient sur le large succès du Téfécé contre les Girondins de Bordeaux, et évoque sa sélection nationale et ses ambitions.
International malien du Toulouse Football Club, Tongo Doumbia revient sur le large succès du Téfécé contre les Girondins de Bordeaux, et évoque sa sélection nationale et ses ambitions.
Tongo, à ton avis le large succès contre Bordeaux (4-0) peut vraiment vous relancer dans la course au maintien ?
Oui je pense que l’on a enfin pris conscience qu’il fallait faire des matches comme ça pour pouvoir se maintenir. Là, je ne sais pas à combien de points nous sommes au classement, mais il faudra compter sur nous jusqu’au bout !
Sens-tu un réel changement depuis l’arrivée de Pascal Dupraz au TFC ?
Il a apporté un nouveau cadre, de la discipline ! Avec des règles à respecter. Le groupe est encore plus solidaire maintenant.
Avant de venir à Toulouse, tu as connu expérience anglaise à Wolverhampton, tu en gardes un bon souvenir ?
Oui bien sur j’en garde un très bon souvenir par ce que ça m’a apporté énormément dans ma vie. Comme je dis souvent soit je gagne, soit j’apprends !
Tu es international malien depuis 2012 (17 sélections), tu espères faire partie de l’aventure pour la qualification à la Can 2017 ?
Oui oui d’ailleurs la je pars la semaine prochaine, et nous affronterons la Guinée-Équatoriale en match aller-retour.
Quel contact entretiens-tu avec Alain Giresse, ton sélectionneur ?
Je l’ai eu au téléphone, il m’a donné la convocation ! J’ai de très bons rapports avec lui, de coach à joueur. On s’entend vraiment très bien et comme il est de Toulouse j’ai souvent l’occasion de le voir.
Dans l’équipe girondine samedi, il y avait un compatriote, Cheick Diabaté, tu lui as glissé un petit mot à la fin du match ?
Evidemment, je lui dis « voilà on vous a tapés » et c’était prévu ! (rire)
Avec le Téfécé tu es en contrat pour combien de temps encore ?
Il me reste deux années de contrat.
Tu comptes justement prolonger à la fin de l’échéance ?
Je ne sais pas du tout, on ne sait pas de quoi est fait l’avenir. Le président je ne sais pas pour l’instant ce qu’il a en tête. Déjà je vais honorer mon contrat et après on verra la suite !
As-tu des envies d’ailleurs pour la suite de ta carrière ?
Repartir en Angleterre ou pourquoi pas l’Allemagne !
Propos recueillis par Tom LOUMAGNE, envoyé spécial à Toulouse