
Thiago Motta : “La France, ce sont les favoris”
Après une victoire difficile face à la Suède (1-0), Thiago Motta s’est arrêté au micro de Foot-Express.com pour évoquer la suite de la compétition et poser son regard sur les Bleus.
Après une victoire difficile face à la Suède (1-0), Thiago Motta s’est arrêté au micro de Foot-Express.com pour évoquer la suite de la compétition et poser son regard sur les Bleus.
Thiago, l’Italie déjà qualifiée après 2 matches seulement, on se doute que vous êtes soulagés ?
On est contents parce que c’est bien de déjà se qualifier. Maintenant il nous reste encore le match contre l’Irlande à jouer, et après on pensera au huitième de finale.
Ça a été un match compliqué physiquement ? Ça vous a surpris cette opposition ?
Non, il n’y a pas de surprise parce qu’on savait ce qu’on allait affronter aujourd’hui, on savait que ça allait être difficile. On a eu de la chance de marquer en fin de match parce que sur la réalité du match il y aurait dû avoir match nul.
C’est quoi l’objectif réel de la Nazionale dans cette compétition ?
La mission c’est de prendre match par match. On savait depuis le début qu’on était pas favori dans la compétition. On sait qu’il y a des équipes meilleures que nous sur le papier mais la réalité elle est sur le terrain. On a réussit à battre la Belgique parce que notre équipe est bien en place. On espère continuer loin comme ça.
Qu’est ce que tu penses de l ‘équipe de France ?
La France, ce sont les favoris bien sûr. Ils ont de très bons joueurs, de la qualité, du physique… Ils ont réussi à battre les Albanais qui étaient bien en place. La France va aller loin dans cet EURO c’est sûr.
Et l’Espagne ?
L’Espagne a un jeu qui les caractérisent depuis maintenant 10 ans et ça marche toujours. Ils n’ont pas changé et c’est bien. C’est comme l’Allemagne, ils commencent le match en sachant quelles sont les bonnes solutions.
Pour la semaine prochaine quel est l’adversaire idéal pour l’Italie ?
Il n’y a pas d’adversaire idéal. Il y a 10 ans les autres équipes espéraient ne pas tomber sur l’Italie mais aujourd’hui ce n’est plus le cas. On devra faire encore plus pour passer.
Propos recueillis par Olivier SCHWOB, envoyé spécial à Toulouse