
Pablo : “Moi aussi je rêve du Brésil”
Nouveau leader de la défense bordelaise, le Brésilien Pablo veut croire à une fin de saison excitante avec les Girondins de Bordeaux et rêve lui aussi de Seleçao.
Nouveau leader de la défense bordelaise, le Brésilien Pablo veut croire à une fin de saison excitante avec les Girondins de Bordeaux et rêve lui aussi de Seleçao.
Pablo, Bordeaux vient de signer (face à Amiens, 3-2) une quatrième victoire de suite. Les Girondins peuvent désormais regarder plus haut ?
Oui c’est très important d’avoir gagné ces quatre matches. Maintenant il faut continuer comme ça. Et je crois vraiment que l’équipe va remonter un peu plus au classement.
Il y a eu un changement d’entraîneur à Bordeaux. Le nouveau coach Gustavo Poyet, il apporte quoi ? Un peu plus de rigueur, de discipline, il vous parle plus ?
Il apporte sa méthode oui, mais il y a aussi sur le terrain du changement chez les joueurs, on fait des choses dans le match pour changer aussi.
On imagine que ça te fait plaisir de revenir à Bordeaux et de savoir que le coach compte sur toi. Poyet a dit que Pablo était un joueur important des Girondins…
Oui c’est très important pour moi, pour la confiance. Je suis un joueur très professionnel, qui travaille dur. Aujourd’hui, je suis très content d’être à Bordeaux, du temps que je passe ici.
Dans quelques mois va se disputer la Coupe du monde en Russie. Penses-tu que Malcom peut faire partie de la liste de Tite, le sélectionneur de la Seleçao ?
Oui peut-être, Malcom est très très fort, c’est un joueur intelligent. Il a beaucoup de qualités. Il fait une belle saison avec Bordeaux et je pense que s’il continue comme ça, il peut être dans la Seleçao. Moi aussi, j’y pense !
Toi aussi tu rêves de porter le maillot du Brésil ?
Oui, moi aussi j’y pense, je rêve du Brésil, de pourquoi pas intégrer la liste, et porter le maillot de la Seleçao. Je vais continuer à travailler pour ça. Je pense “grand”. Le Brésil est très fort c’est sur, on a Neymar avec nous par exemple ! (rire) Il y a beaucoup de joueurs, mais la Copa do mondo c’est très dur, le niveau est très élevé. Alors, pourquoi pas ?
Propos recueillis par Olivier SCHWOB