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AccueilFoot africainFloyd Ayité : ” On se dit que ce club a sa place en Ligue 1″

Floyd Ayité : ” On se dit que ce club a sa place en Ligue 1″

De retour au Matmut à Bordeaux, six ans après son dernier passage ici avec Bastia en 2016, Floyd Ayité revient sur son expérience en Turquie et son choix de porter le maillot de Valenciennes, son nouveau club. Le joueur formé aux Girondins pose aussi un regard attendri sur le club au scapulaire.

  • 3 août 2022
  • Posté dans Foot africainL'interview

Floyd, on vous retrouve en France après plusieurs années passées en Angleterre (Fulham) puis en Turquie (Gençlerbirligi). Racontez-nous un peu votre parcours et ce qui vous amène à Valenciennes…

Avant d’arriver à Valenciennes, j’ai passé deux saisons en Turquie, à Gençlerbirligi. Une bonne expérience (49 matches, 6 buts), exceptée la relégation de la fin de saison, qui s’est dessinée quand le président a annoncé son départ. Là, le club s’est effondré, et tout s’est dégradé jusqu’aux salaires impayés. C’est dommage, car c’était un club sérieux et solide de la ville d’Ankara. Avec ma famille, nous avions décidé de revenir en France. Ligue 1 ou Ligue 2, un moment il faut se positionner. Valenciennes ? Un ami à moi m’a parlé de ce projet. Je cherchais un nouveau challenge, je souhaitais revenir en France. J’ai eu le coach Nicolas Rabuel, que je connaissais déjà humainement. Je l’avais eu en adjoint à Reims. Le discours m’a plu, le club est ambitieux, il aimerait retrouver l’élite au plus vite. Quand on voit les infrastructures, on se dit que ce club a sa place en Ligue 1.

Comme les Girondins de Bordeaux d’ailleurs qui jouent désormais en Ligue 2, mais qui auraient pu disparaître de la carte du football professionnel. Avez-vous suivi le feuilleton de l’été ?

Evidemment car je suis attaché à cette ville et à ce club, c’est toujours mon club de coeur. Je suis né à Bordeaux (le 15 décembre 1988). J’y ai fait mes premiers pas, c’est le club qui m’a donné l’opportunité de devenir professionnel. J’ai suivi l’actualité comme tout le monde. Je ne pouvais pas croire que ce club pouvait disparaître. On a vu tout l’engouement qu’il y a autour de ce club et toutes les forces qui se sont unies pour sauver le club.

Quelle émotion vous a traversé de revenir au Matmut ?

Le Matmut c’était un souvenir lointain. En 2016, avant de partir en Angleterre, j’y avais joué avec Bastia. Il y avait ma famille qui était là. Samedi aussi, ils étaient en tribunes pour me voir, c’est toujours plaisant.

Pourriez-vous un jour porter à nouveau le maillot des Gigis ?

Cela fait des années que Bordeaux et moi, on a eu cette séparation. Mais je n’oublie pas que cette ville m’a vu naître et m’a apporté tout le bagage pour devenir pro. L’espoir fait vivre comme on dit. Boucler la boucle, un jour ? Pourquoi pas. Il y a des gens, des dirigeants qui sont en place. Aujourd’hui, je ne me pose pas la question car le championnat a commencé et que je suis concentré sur mes objectifs avec Valenciennes. Après, on ne sait jamais de quoi est fait l’avenir.

A Valenciennes, quel est votre rôle ? Comment vous situez-vous dans l’équipe ?

Je suis un joueur d’expérience, j’ai pas mal de matches de Ligue 1 et Ligue 2 au compteur. Il faut un cadre mixte entre la jeunesse et l’expérience. Je suis là pour apporter ce que je sais faire. Créer des différences, être décisif, et afficher une bonne mentalité.

Un rôle de cadre, un peu comme celui que vous assumez en sélection nationale du Togo …

Oui en sélection, il reste quatre-cinq cadres, dont je partie au même titre qu’ Alexys Romao, Djené Dakonam ou encore Ihlas Bebou, d’Hoffenheim. En sélection, nous avons toujours eu de bonnes générations sur les dix dernières années, mais là, tout est à refaire. C’est un autre challenge qui nous attend, accompagner les jeunes joueurs des Eperviers.

Propos recueillis par Olivier SCHWOB 

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